« Vents qui avez tant de fois caressé mon visage.... »
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Hep, Prairie...
Douceur du vent,
Il était un baiser en quête d’une lèvre
Qui voulait déposer une passion orfèvre,
Et devenir le seing d’une communion
À vivre et entonner comme une absolution.
Il était une lèvre en quête d’un baiser,
Qui offre chaque jour parfum du verbe aimer,
En le partage ultime de la douce oraison
Qui fait croiser les coeurs en suave abandon.
Mais nul ne trouva l’autre et le vent transporta
D’un nuage à un autre longtemps la douce aura.
Je vous sais lors très triste mais ce cadeau perdu
Ne le fut pourtant point car nul n’est superflu.
Il suffit de lever son coeur droit au ciel
Pour entrevoir des sens ce baiser arc en ciel.
Et vous le pouvez prendre, il y fut déposé,
Pour Vous, Etre de bien, qui cultivez l’aimé.
Vole, petit baiser,
Jusque le partager.
liedich le huitième de mars 2013, ev