A Fanfan, Florence, Noëlle,
A qui sait aimer,
A la vie qui se meurt.
Quand mon verbe mourra de ta cruelle absence,
Quand se sera ridée la soie de mon enfance,
Les yeux levés au ciel, je replierai mes ailes
Et le cœur chaviré, te dessinerai, Celle :
Qui est parfum de pluie,
Qui est cristal d’envie,
Dont tant j’admire l’âme,
Qui me fut belle Dame,
En chaque de mes nuits,
Dont même l’OMBRE luit.
Quand mon verbe mourra
De l’absence de Toi.
liedich
Extrait de Vrac de Vie en vrac... 2015