tag:blogger.com,1999:blog-72691350882449776512024-03-06T09:09:27.012+01:00liedichLiedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.comBlogger38125tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-31705830803421624402018-02-17T13:37:00.000+01:002018-02-17T13:37:21.457+01:00Pagne et panier !
n L’amour est dans le pré k
E Elle a un pagne et un panier,
Pour y pouvoir ranger son pagne,
Quand montent mains à son panier,
Et s’aventurent sous son pagne.
A Alors, là, posant son panier,
Rejetant à terre son pagne,
Elle offre de ses fruits, panier,
Qui ont bon goût de la campagne.
A Amant, il butine panier,
Couché, Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com64tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-49163844130298240172017-12-29T12:47:00.001+01:002017-12-29T12:47:59.425+01:00A l'auberge de vie,
Une ruelle sombre à Honfleur
Le hanap d’hypocras pour déjouer le diable,
La ribaude honorée, là, à même la table,
La rimaille en canon contre le vil bourgeois,
Le blasphème en un choeur pour vomir toute foi.
C’est à la «Truie qui pisse», gargote des sans âmes,
Que rêvent les pucelles qui se voudraient Dames,
Que les enfants crasseux, morve sèche aux Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com22tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-71181170085963350812017-11-30T12:35:00.000+01:002017-11-30T12:35:11.697+01:00Fiasque saturnienne*,
Souvenir du sixième de mars 2013,
Le Coin de Table de Henri Fantin-Latour, 1872
Paul Verlaine et Arthur Rimbaud, en bas et à gauche du tableau,
Musée d’ORSAY, Paris.
Mars 2013
Boulevard Saint-Germain, Paris
Exposition PAUL VERLAINE
Fiasque saturnienne*,
L’élixir de la mort « opiume » la nuit noire,
Et j’offre ma carcasse à ce doux exutoire,
Tandis que du Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com13tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-75768912419155436952017-01-20T22:38:00.000+01:002017-01-20T22:38:13.870+01:00Ce matin,
Ce matin, j’ai frissonné d’un allegretto, j’ai souri à un sentiment, j’ai longuement prêté l’oreille à une caresse, j’ai dessiné une arabesque, j’ai chanté le profond d’une source...
Mes yeux se sont clos. Mon sang est devenu de l’eau que nous avons échangée. Mes bras se sont tendus pour mieux t’enlacer à l’intérieur de toi même. Mon souffle s’est fait tempête en la jouissance de Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com25tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-21258032783516268522016-04-03T00:36:00.000+02:002016-04-25T05:16:46.788+02:00Quand ta main n'est que lyre,
Photo Snapchat _ Collection personnelle, liedich
«Pauvre mec mon pauvre Pierrot
Vois la lune qui te cafarde
Cette Américaine moucharde
Quґils ont vidée de ton pipeau»...
Léo Ferré, Le chien...
Quand ta main n’est que lyre,
J’ai grandi en ton sein et m’ont poussé des ailes,
Moi qui vivais ton corps comme escouades frêles :
J’ai béni le matin Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com60tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-70872769901777430522015-10-19T20:14:00.000+02:002015-10-19T20:14:46.608+02:00L'arbre à mots
Une oeuvre d'Annick SAMAUROW, Collection personnelle
Choisir des lettres à ordonner,
Dans un sens, puis, en sens inverse :
Peut-être que vous obtiendrez
Une pluie d’amour en averse.
A moins que vous ne préfériez,
En la corne de l’abondance
En jeter plus pour y créer
Encore meilleure assonance.
Mais vous pourriez tout aussi bien,
Planter en l’humus du savoir,
Des Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com47tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-34535139820424511702015-08-06T22:46:00.000+02:002015-08-06T22:46:17.496+02:00Ombre de Toi,
A Fanfan, Florence, Noëlle,
A qui sait aimer,
A la vie qui se meurt.
Quand mon verbe mourra de ta cruelle absence,
Quand se sera ridée la soie de mon enfance,
Les yeux levés au ciel, je replierai mes ailes
Et le cœur chaviré, te dessinerai, Celle :
Qui est parfum de pluie,
Qui est cristal d’envie,
Dont tant j’admire l’âme,
Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com28tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-37661126120984963622015-02-26T21:16:00.001+01:002015-02-26T21:16:39.909+01:00A mon Ami François,
Pour Jolie Fleur,
François, j'ai peur...
Pour quel demain ?
Tu as les ongles ébène, l’effluve moisissure,
Ton visage ridé n’est plus qu’une écorchure,
Ton habit délavé te fait épouvantail
Et tes yeux n’offrent plus qu’un éclat soupirail,
Ta lèvre a disparu sous la gerce en broussaille,
Tes cheveux sont poisseux, ta peau n’est que grisaille,
Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com23tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-7532505393605234032015-01-30T21:56:00.000+01:002015-01-30T21:57:12.938+01:00Saillie "Ecce homo"
" Tout homme peut aisément, par la pensée, orner le réel et imaginer l’impossible. Mais certains possèdent à un tel degré cette faculté de métamorphose que pour eux le monde imaginaire est aussi vivant et beaucoup plus précieux que le monde sensible. Ce sont les artistes ". (Pierre Louÿs, Pour bien comprendre Aphrodite)
1870-1925
Sur une image,
Saillie «Ecce homo»,
Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com27tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-47889622726567566592014-12-22T22:53:00.000+01:002014-12-22T22:53:04.586+01:00Quand, maintenant,
Quand je saurai que rien est tout,
Que le début n’est que le tout,
Quand je verrai de mes yeux clos
L’horreur de tout ce qui est beau,
Quand je sentirai la mélasse
Comme la plus douce des nasses,
Quand j’entendrai le vrai silence
Et que les riens hurleront stances,
Quand je goûterai l’insipide
Comme une saveur intrépide,
Quand je toucherai l’irréel,
Fut Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com36tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-50388644840196897622014-10-05T20:49:00.000+02:002014-10-05T20:51:14.245+02:00Spleen
Collection personnelle liedich
Le boudoir est brouillard, baigné d’éther lubrique,
L’oeillade ravageuse est faux air de cantique,
La hanche est arabesque où s’érige l’envie :
Lors naissent mille alcools qui subliment la nuit.
Vautrée au lit de fioles tintant la détresse,
Offrant ta bouche fraise ès une impure hôtesse,
Jurant mots orduriers qui subliment l’invite,Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com48tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-1795396102097504702014-09-24T11:53:00.000+02:002014-09-24T15:01:49.024+02:00Ma Sophie
moi j’étais «ton poète»
TOI, T’étais ma Prairie...
T’es partie à l’automne et comme feuille d’or,
Le souvenir tu poses en le doux mot d’encor,
Que je crie à ton coeur dont battement m’était
La joie de tant de jours à l’immense bienfait.
moi j’étais «ton poète»
TOI, T’étais ma Prairie...
Tu étais mon Eté et tes mots de sagesse,
D’espoir en certitude résonnaient comme liesse :
Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com34tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-71699087269821998362014-09-17T04:38:00.000+02:002014-09-17T04:42:43.031+02:00Encor,
Les mendiants - Bruegel - Domaine public
Je me veus troubadour en ce siècle sans rêve,
Je me veus chevalchier quand l’amour n’a plus sève,
Corir vers Douce Dame en foi et fin-amor,
Et coutiver au soir la Belle et son trésor.
Je fais fi des vautours aux deniers pour seul rêve,
Je fais fi des seigneurs qui d’honneur n’ont plus sève,
Et me veus mendiant, Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com24tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-5516794668910550082014-06-06T09:38:00.000+02:002014-06-06T09:38:16.019+02:00Dernier soir, dernier cri,
Nous y voici à cet instant et je me rapproche encore de Toi.
Je te Nous. Tu me Nous aussi. Et ainsi nous nous regardons. Les yeux dans le coeur et mon coeur dans le vague. Je ne souffre pas. Je ne vis plus que par instant mais je te vois et j’aime à me rappeler, à revivre chaque instant tout ce que nous fûmes ensemble.
Ces vagues de notre jeune espoir où nous souriions. Toi pour Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com22tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-27527027945331541182014-04-26T00:09:00.001+02:002014-04-26T00:09:37.587+02:00Ma vie,
Moi je vis en un monde où je n’existe pas
Où la Femme est amour et le garçon courtois,
Où l’herbe est grasse et folle au gré d’un vent léger
Et où l’instant n’est autre que le mot aimer.
Moi je rêve de tout chaque seconde vive,
Et mon coeur est un ru d’une onde douce et vive,
Où les mots sont passion et ornées de bouquets
Dont l’arôme orne vie en chaque jour banquet.Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com42tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-11323870628703299282014-03-08T22:30:00.000+01:002014-03-08T22:30:09.925+01:00Sous rire,
Icare et Dédale
Thomas OTTEN Divigi Tu
Bribe d’envie sans vie.
Il était une fois. Non. Je crois qu’il était une fois.
Tout fout le camp. Même les pigeons mangent des Macdo.
Sera-t-il une fois encore, rien qu’une fois ? Je ne sais plus, je n’y crois plus.
Alors, allez. Disons qu’il est maintenant.
La voix s’élève. Thomas OTTEN reprend un vieux truc : Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com55tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-45215601155319744462014-02-02T22:42:00.000+01:002014-02-02T22:43:52.472+01:00Biblis,
William Adolphe BOUGUERREAU
BIBLIS
Tant il est pureté en ton buste douceur,
Tant se trouve éclosion en tes bras de ferveur,
Tant ton visage d’ange a su m’imposer loi,
J’ai osé un toucher de ma plus belle soie,
Tes mains jointes en prière de ne me jamais voir,
L’astre de tout ton corps de me nier tout soir,
Tes galbes enchanteurs en Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com31tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-71645145888651620092014-01-25T11:01:00.000+01:002014-01-25T15:25:06.084+01:00M’man, t’aurais 87 ans...
Ultime amour,
J’ai souvenir d’un cierge illuminant ta peau,
De l’univers repos qui enfin t’habitait,
Je vis encore au soir de mes soirées d’hiver
Le printemps de ton âme qui n’était que bonté.
J’ai souvenir épine en le blême oripeau,
Qui lovait ton regard qui plus ne sourirait.
Je pleure encor au jour de cet instant d’hier,
Où l’été de ta Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com38tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-36831325784867167272013-12-22T19:30:00.000+01:002013-12-22T19:52:30.294+01:00Mes voeux de fin d'année
Voyage en l'être,
For de liedich,
Car il est à l’instant un fort désir de l’être,
De vous priver céans du bien simple paraître,
Tant il est certitude, au delà du visuel,
De trouver douce source au flot bel irréel.
Ne point croire en la vue, en le son, au toucher,
Se dire qu’au delà est le vrai extasier,
Qu’en le for de tout Autre est scintillant diamant
Qui Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com33tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-9500369725057999292013-11-28T17:35:00.000+01:002013-11-28T17:35:02.408+01:00A mon demain,
Coule en mon corps malade et porte moi l’enfin,
Qui mènera ma vie sur le dernier chemin,
Pour cueillir la lumière, absente de ce monde
Et étancher ma soif hors de tout cet immonde.
Réchauffe mon ultime et que flambe le ciel,
Quand flammèche de moi rejoindra l’éternel,
Et la prairie, sans fin, où poussent mille roses,
Qui m’offriront enfin gerbe d’apothéoses.
Lors, offreLiedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com57tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-55597720596612327042013-11-10T17:41:00.000+01:002013-11-10T17:42:54.606+01:00Mourir pour vivre enfin,
Tristán e Isolda, Rogelio de Egusquiza (1845-1915). Musée des Beaux-Arts de Bilbao.
À mon Yseult,
Que n’êtes-vous point là, Dame, pour me chérir,
Et pallier de vos mots mon instant de mourir,
Irisant du sourire, qui me fut horizon,
Le venir de demain qui me serait prison.
Aurai-je donc pêché, vous aimant par trop mal,
Ne fus-je donc assez la Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com58tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-77479438813397391602013-10-29T23:03:00.000+01:002013-10-29T23:03:14.606+01:00Souvenir de jeunesse,
Quand le temps n’est que « passe »,
Dans les phares d’la vieille caisse, en bordure du boul’vard,
J’les voyais les nanas, ras l’bonbon, pleines de fard.
Et dans ct’univers glauque aux forts relents d’alcool,
La misère se vautrait, caniveau vitriol.
C‘était monde luxure, faux calice, pas d’pitié,
Où qu’les femmes valent rien, même pas Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com55tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-62390077949578559862013-10-06T12:56:00.000+02:002013-10-06T12:56:09.481+02:00Vivre n'est rien...
A Toi, ma douce Amie.
L’ultime enterre et ment,
Allez viens, il fait froid, mais que bel est l’instant,
Même si le blizzard par la vitre cassée,
Ne rendra mon corps ivre comme j’aurais aimé,
Qui t'offrirait passion de mon coeur pantelant.
Allez viens, on est gueux, mais nous sommes partages
Bien plus que l’anneau d’or que tu n’auras jamais ;
Le galbe de tes Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com63tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-44904678538052735842013-09-06T16:55:00.001+02:002013-09-06T17:03:09.019+02:00Vile trompaille,
Lire et voir la vidéo ou voir la vidéo et lire,
Monter le son et double-clic sur la vidéo,
Putain de merde... Je pleure.
Comme un psycho-pété.
Je pleure au seul penser des corps qui se « lascivent* »
Aux caresses qu’ils offrent de façon concessive,
Simulant bel échange où l’illusion allume
Mille feux dont les cendres ne sont que l’amertume.
Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com59tag:blogger.com,1999:blog-7269135088244977651.post-37175276095939700242013-08-17T14:51:00.000+02:002013-08-17T14:51:09.578+02:00Là ou l'amour chantoit,
Pardonnez mon absence et merci de vos sollicitations.
Vous êtes aimés.
Et bien voilà, j'ai découvert le Château de la Motte près Noailly Loire et j'en suis tombé amoureux....
Nous en avons même réalisé le livret...
Extrait.
Là où L’amour chantoit...
« Le troubadour dans son enfance
Douce chanson d’amour chantoit,
Mais quand ce vint l’adolescence,
Liedichhttp://www.blogger.com/profile/08987501290147519328noreply@blogger.com54